Une sortie du coté de la Pène du Cousset

Jeudi 22 février, jean Claude, Serge, Bubu et Alain M

Après 3 jours de pluie quasiment ininterrompue, nous pouvons enfin réaliser une sortie dans des conditions météorologiques acceptables.
Le froid est revenu mais on n’aura certainement pas le temps d'avoir froid.
L'objectif de ce jour sera l'exploration d'une cavité entrevue récemment par Jean Claude et qui se situe sur le 64, à Arthez d'Asson , sur la Pène de Cousset.
A priori cette zone est pauvre en cavité et nous avons décidé de nous rendre compte sur place de ce qu'il en est.
A 9h30 c'est le départ, au lieu-dit Cot de Tisné.
Un joli sentier devrait nous mener tranquillement vers les sommets et les cavités inexplorées.
Hélas, après le premier quart d'heure de marche, le sentier commence à faire défaut et nous commençons à gravir la pente dans les buis et les éboulis.
Pendant plus d'une demie heure ce sera un vrai parcours du combattant tant la végétation sera dense et vierge de tout passage. Progression épuisante avec des épineux et des ronces ne facilitant pas la progression. J'en ai les bras tout égratignés.
Enfin, après plus de 2 heures de crapahut, nous atteignons un semblant de chemin et pouvons enfin progresser normalement. Nous atteignons la cavité repérée récemment.
C'est une petite entrée laissant présager un puits, les cailloux semblant rouler asses loin.
On attaque le chantier, on est là pour cela, Bubu s'occupe de nous allumer un feu car après les chaleurs de la montée, il fait plutôt frisquet, un peu de neige étant d'ailleurs sur le sol, aux parties à l'ombre.
Le travail avance bien, nous sommes rodés.
Pause casse-croûte, il est 13 heures et vers 14 h le trou se rend et nous livre un passage tant espéré.
Equipement de Serge et c'est la descente malheureusement pas très longue, une dizaine de mètres.
Arrêt sur un aval permettant de voir sur 3 mètres de plus, un amont de 2 mètres qui se pince et surtout pas de courant d'air.
Terminé, levé du croquis, mesure des longueurs et puis c'est tout.
Il est déjà 15 heures, nous pensons à la descente car certain ont des rendez-vous en ville, à 17 heures.
Par où passer, pour éviter la galère de la montée ? Et bien en face nord, directissime, il subsiste un semblant de sentier qui en descente se trouve praticable.
16 heures, on est en bas. Comme on a un peu de temps, on passe du coté de Clot de Hour, voir un châtaigner multi centenaire. Impressionnant cet arbre qui mériterait  d'être mis en valeur.
Alain M









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