A la recherche des eaux vertes

Dimanche 17 février
Jean Claude, Serge, Joël, Jean Luc, Alain M, Alain D et Brigitte.

Les eaux du Quéou ayant été colorées hier en fin de matinée, la Génie est placée sous étroite surveillance, des fois que la coloration serait visible à l'œil.
Hier au soir, à 21 heures, rien d'apparent. Ce matin, à partir de 4heures, rien non plus.
Jean Claude et Serge remontent les premiers à la lueur de leurs lampes frontales.
Joël, Jean Luc et Alain partent vers 8h 30 les rejoindre. Ils en profitent pour nettoyer un peu le chemin de tous les arbres tombés en travers ces dernières années. La tronçonneuse ronronne allégrement.
Vers 10 heures Serge redescend de son poste d'observation, rien n'est passé.
Nous continuons et atteignons le Puyau. Au fond, une fumée blanche s'élève, pas celle pour accueillir le nouveau pape mais Jean Claude qui se réchauffe. Il est là depuis 6h30.
Discussion, cela fait maintenant près de 24 heures que le colorant est injecté, rien n'apparait.
Nous quittons le poste d'observation pour aller faire un peu de prospection et voir 2 cavités trouvées par Jean Claude il y a quelque temps.
Le porche de la Gargante, très jolie entrée mais rapidement bouchée.
Au trou du Blairemela, il y aurait certainement à gratter un peu mais l'odeur des blaireaux pas très loin va nous en dissuader.
Il va être midi, l'heure du repli pour le casse croute.
Au retour, prés du feu, nous sommes accueillis par Alain D et  Brigitte son épouse.
Avec ce beau temps, tout le monde en profite.
Après un bon casse croute, nous décidons de redescendre vers les voitures. Alain et Brigitte poussent un peu plus loin jusqu'aux Picharrots.
A 15h30 nous quittons la Génie, toujours pas de coloration en vue.
La suite sera pour les fluo-capteurs.
 

Alain M

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